Savoir distinguer les symptômes d’une démence des effets naturels du vieillissement constitue souvent un véritable défi pour les familles, surtout quand la personne tente de cacher sa maladie. La démence effraie le malade, car elle atteint le cerveau et change la personnalité. Nul ne souhaite voir la maladie lui voler ainsi son identité. C’est pourquoi le déni est fréquent chez de nombreux seniors atteints de démence, qui tentent de cacher leurs symptômes à leurs proches.
Qu’est-ce que la démence sénile ?
La démence sénile, ou démence, est une altération progressive des fonctions cognitives, d’apparition tardive et causée par des facteurs organiques.
La démence n’est pas une maladie unique, mais plutôt un syndrome clinique variable se caractérisant par la perte de diverses facultés intellectuelles. Les manifestations et l’évolution de la démence sénile dépendent de la cause sous-jacente (c’est-à-dire de quelle partie du cerveau est touchée).
Il existe plusieurs types de démence sénile :
- la démence irréversible ou démence dégénérative primaire — il s’agit des maladies neurodégénératives de deux types :
- la maladie d’Alzheimer et les maladies apparentées associées à une atrophie cérébrale (démence à corps de Lewy, maladie de Pick, dégénérescence fronto-temporale ou DFT…),
- les démences vasculaires, c’est-à-dire dues à un accident vasculaire cérébral (AVC[2]).
- la démence secondaire ou syndrome confusionnel — il s’agit davantage d’une confusion liée à un autre trouble (infection urinaire) ou aux effets secondaires de médicaments.
Qu’est-ce que la sénilité ?
La sénilité est ce que l’on appelle aujourd’hui plus communément la démence. Elle se caractérise par un déclin mental, dû à une diminution des facultés cognitives. C’est un autre terme employé pour démence sénile ou simplement démence.
Le concept de sénilité était utilisé au dix-neuvième siècle pour décrire les changements cognitifs se manifestant chez certaines personnes âgées de plus 65 ans et considérés comme faisant partie du processus normal du vieillissement. On sait aujourd’hui que ce déclin cognitif est un processus pathologique et on n’emploie plus guère le terme sénilité dont la connotation est teintée d’âgisme.
Quels sont les symptômes de la démence sénile ?
Les symptômes de la démence sénile comprennent en général les signes suivants :
- perte de mémoire, mauvais jugement et confusion ;
- difficultés à parler, à comprendre et à exprimer des pensées, ou à lire et à écrire ;
- errance et tendance à se perdre dans un quartier familier ;
- difficultés à gérer l’argent de manière responsable et à payer les factures ;
- questions répétitives ;
- utilisation de mots inhabituels pour désigner des objets familiers ;
- délai plus long d’accomplissement des tâches de la vie quotidienne ;
- perte d’intérêt pour les activités ou les événements quotidiens normaux ;
- hallucinations, délires ou paranoïa ;
- comportement impulsif ;
- manque d’empathie ;
- troubles du sommeil ;
- perte d’équilibre, mauvaise coordination et troubles moteurs ;
- troubles du comportement (agitation, anxiété…).
La manifestation de ces symptômes dépend du type de démence dont la personne est atteinte. Les problèmes de mémoire sont caractéristiques de la maladie d’Alzheimer[1], tandis que les hallucinations sont plus souvent associées à la maladie de Lewy.
On parle aussi de démence mixte pour les personnes atteintes à la fois de la maladie d’Alzheimer et d’une démence vasculaire. Cette dernière se caractérise par des difficultés à marcher normalement, des changements de comportement (dépression[3], sensibilité accrue…), des problèmes moteurs ou des symptômes similaires à ceux d’un AVC (faiblesse musculaire, paralysie unilatérale temporaire…)
Quel que soit le type de démence dont souffre votre proche, il peut parvenir à cacher ses troubles mentaux. Il est important de savoir reconnaître le déni et les signes subtils d’un déclin physique et mental.
Le déni des seniors face à la démence
La démence est une maladie qui touche des millions de personnes et change leur vie du tout au tout. Pour autant, elle n’est pas toujours facile à repérer à un stade précoce. Les signes de démence chez une personne âgée sont d’abord subtils, surtout qu’ils ressemblent souvent aux effets naturels du vieillissement. Il est néanmoins important de savoir reconnaître la démence le plus tôt possible.
Votre mère est de plus en plus désorientée ou perd ses mots ? Votre père oublie de payer ses factures ? Si votre proche âgé présente des signes de pertes de mémoire fréquentes et persistantes, il peut être recommandé de consulter son médecin traitant, pour diagnostiquer une éventuelle démence. Lorsqu’ils se répètent et persistent, ces signes sont souvent plus qu’une simple faiblesse liée au grand âge.
Une prise en charge précoce de la personne âgée atteinte de démence peut ralentir la progression de la maladie. Certaines formes de démence peuvent même être guéries, même si ce n’est certes pas le cas pour la maladie d’Alzheimer. Il est donc important de savoir reconnaître les différentes techniques que votre proche peut utiliser (consciemment ou non) pour cacher ses symptômes de démence.
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Refuser de participer à une activité autrefois appréciée
Lorsque votre proche refuse d’accomplir des actes qu’il faisait sans problème, de jouer à un jeu simple ou d’essayer quelque chose de nouveau, il est bien possible qu’il ait un problème. Il s’agit souvent de symptômes physiques de la maladie d’Alzheimer ou d’une autre démence.
Lorsqu’une personne âgée a des difficultés à se souvenir comment faire certaines activités qui étaient autrefois une seconde nature, elle peut tenter de le cacher en affirmant simplement qu’elle n’a pas envie. La personne âgée atteinte de démence a plus de difficultés à apprendre de nouvelles informations, mais ne veut pas toujours le reconnaître : les conséquences d’une telle reconnaissance sont souvent trop douloureuses.
Le conjoint couvre les problèmes du patient atteint de démence
Parfois, lorsqu’un proche âgé éprouve des difficultés à conduire ou à entretenir une conversation avec des parents ou amis, son conjoint le couvre en cachant ses difficultés. Le conjoint d’une personne atteinte de démence intervient parfois et complète la tâche que le sujet malade a du mal à accomplir. Il finit parfois ses phrases ou trouve des excuses pour expliquer la conduite de son proche.
Dans ce cas, vous pouvez avoir des difficultés à repérer les symptômes de la maladie d’Alzheimer de votre parent âgé.
Le déni de son propre déclin cognitif
Affirmer que tout va bien, alors qu’on constate clairement un problème (« C’est normal d’oublier à mon âge » ou « Tout va bien, je suis seulement fatigué ») est l’un des signes de déni chez une personne âgée atteinte de démence.
Le recours à des prétextes pour expliquer ses faiblesses permet à la personne âgée atteinte de démence de se protéger. Elle arrive à se convaincre elle-même que tout va bien et qu’il n’y a pas de quoi s’inquiéter. Alors qu’en réalité, elle a peut-être besoin d’un traitement adapté à sa situation ou d’une prise en charge dans une maison de retraite médicalisée (Ehpad).
Cacher la démence de crainte d’être placé en maison de retraite
Les personnes âgées préfèrent résider à domicile et garder leur indépendance. De nombreux seniors tentent de cacher leur déclin cognitif pour rester autonomes plus longtemps. Plusieurs études montrent que les personnes aux capacités intellectuelles les plus élevées et au niveau d’éducation le plus avancé peuvent cacher leurs signes de démence pendant une période plus longue. Ces personnes ont des capacités plus élevées que la moyenne et la démence peut plus facilement passer inaperçue aux yeux de l’entourage.
Bien sûr, le niveau d’éducation ne constitue pas toujours une protection contre la démence. Il permet de contourner les problèmes aux premiers stades de la maladie, voire de cacher ses signes. Il reste important pour les membres de la famille d’être à l’affût des éventuels signes de démence chez le senior pour l’aider le plus tôt possible.
L’anosognosie
A la différence du déni, qui constitue un mécanisme de défense psychologique naturel de l’individu, l’anosognosie est une pathologie qui se caractérise par l’absence de conscience de la maladie par le patient. Le sujet malade ignore sa maladie.
L’anosognosie est fréquente chez les personnes atteintes de démence à partir d’un certain stade. Elle touche jusqu’à 80 % des sujets atteints de la maladie d’Alzheimer.
L’anosognosie est difficile à appréhender. Les neurologues savent néanmoins qu’elle résulte de modifications anatomiques et d’une atteinte d’une partie du cerveau liée à la perception de la maladie chez l’individu.
Finalement, que votre proche tente ou non de cacher sa maladie, vous pouvez suspecter une démence si vous constatez qu’il a des difficultés avec les actes du quotidien et ses différentes responsabilités. Un bilan neurologique permettra de mettre un nom sur ces difficultés. Il est important de connaître les causes des problèmes de mémoire de votre proche et de savoir s’ils peuvent être traités. Même si le diagnostic fait « seulement » état d’une démence précoce ou de troubles cognitifs légers, cela ne signifie pas qu’il s’agit d’une conséquence normale de la vieillesse. Il est important de commencer à anticiper la prise en charge future de votre proche atteint de démence, pour garantir son bien-être le plus longtemps possible.
Questions fréquentes
Quels sont les premiers signes de démence ?
Les premiers signes de démence sont généralement les suivants :
- Troubles de la mémoire, et surtout difficulté à retenir des événements récents,
- Confusion spatio-temporelle croissante,
- Concentration réduite et mauvais jugement,
- Difficultés à planifier ou résoudre des problèmes,
- Problèmes de compréhension des images et des relations spatiales,
- Nouveaux troubles de la parole ou de l’écriture,
- Changements de personnalité ou de comportement,
- Apathie et repli sur soi ou dépression,
- Difficultés à effectuer des tâches quotidiennes familières,
- Tendance à égarer des choses.
Les premiers signes de démence sénile se manifestent de façon subtile et sont parfois difficiles à discerner.
Est-ce que la démence se soigne ?
La démence est une maladie neurodégénérative qui dégrade peu à peu la fonction cognitive des patients. Il n’existe pas de traitement permettant de la soigner : autrement dit, on ne guérit pas des démences.
En revanche, il existe divers traitements permettant de soulager dans une certaine mesure plusieurs des symptômes. Certains médicaments permettent par exemple de gérer les divers troubles du comportement que présentent les patients.
Les meilleurs soins restent une prise en charge adaptée de la perte d’autonomie et des traitements non médicamenteux pour stimuler et préserver les facultés du senior.
Quelle différence entre Alzheimer et la démence sénile ?
On ne peut pas réellement parler de « différence entre Alzheimer et la démence ». En fait, la maladie d’Alzheimer est l’une des différentes démences séniles existantes. Chacune de ces pathologies a ses propres spécificités, mais elles ont aussi beaucoup de points communs, comme le déclin progressif des fonctions cognitives et physiques.
-
[1] Alzheimer
La maladie d’Alzheimer est une maladie qui affecte le cerveau, entraînant des pertes de mémoire et des difficultés à penser clairement, rendant progressivement les tâches quotidiennes plus difficiles.
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[2] AVC
Un AVC, ou accident vasculaire cérébral, se produit lorsque le flux sanguin vers une partie du cerveau est bloqué, ce qui peut provoquer des problèmes de mouvement, de langage, ou…
-
[3] Dépression
La dépression est un état de tristesse profonde et prolongée, où une personne perd l’intérêt pour les activités et se sent épuisée, qui est très fréquent chez les seniors.
-
[4] EHPAD
Les EHPAD sont des établissements médicalisés qui accueillent des personnes âgées qui ont besoin de soins médicaux réguliers et d’une aide dans leur vie quotidienne.
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On m a trouvé une atrophie corticale antérieure touchant la convexite des vallees sylvienbe j ai 73 ans j ai vu le neurologue hier ne m a pas expliqué mbenvoi voir un psy avec des antidépresseurs je suis dévastée qui pourrait m explique le médecin traitant ne m a rien dit je suis dans le flou total j ai aussi fes troubles cognitifs merci
Bonjour
Je vous remercie pour votre commentaire.
Il serait bénéfique de consulter un spécialiste en neurologie pour obtenir des explications détaillées et envisager des examens complémentaires. Par ailleurs, un suivi psychologique peut aider à gérer l’impact émotionnel de ce diagnostic.
Bonne journée.
Amandine
Bonjour
Je partage la détresse de Mika parce que nous nous trouvons face à des personnes du corps médical et/ou social qui ne connaissent pas notre détresse au quotidien. Et peut être aussi qu’il n’existe pas de législation à proprement parlé pour cette phase de la/les maladies. Ma mère a 87 ans elle décline depuis un an environ. Absence d’hygiène, dénutrition, mauvaise prise des médicaments etc..Désorientation spatio temporelle, chutes à répétition. Suite à une chute, passage aux urgences mais sans cassure ou infection : retour à domicile 6h plus tard en hypoglycémie. Médecin traitant alerté à maintes reprises, sans réaction. Le gériatre qui l’a vu 6 mois plus tôt répond qu’il y a pire…Bref, je crois qu’il n’y a rien de pire que de fermer les yeux et de voir les aidants tomber. Ma mère a des aides 3 fois par jour + passage des infirmières mais elle se met en danger. Hier par ex 17h30 a diné pieds nus, a mangé dans la casserole et pris ses médicaments y compris les somnifères. Son auxiliaire de vie arrive à 19h elle refuse la tenue de nuit et le changer complet mais elle ne peut l’y contraindre. Que faire? Prévenir son médecin traitant mais toujours rien.Le pire c’est qu’elle s’est trainée sans son déambulateur mais une canne qui était en train de fondre sur le gaz allumé; par chance une nouvelle fois je suis arrivée à temps. Deux ans que je n’ai plus de vie personnelle (3j de vacances) que je mène tant bien que mal ma vie professionnelle. Ma santé mon temps libre n’en parlons pas. J’ai épuisé toutes les sources d’aide possibles et imaginables mais RIEN. La seule réponse qu’on me donne c’est « protégez vous » mais comment se protéger quand personne ne peut nous aider. La réponse législative c’est que tant qu’elle n’est pas sous mesure de protection judiciaire et qu’elle refuse d’entrer en EHPAD il faudra gérer. Son comportement a changé, elle est devenue méchante, culpabilisante, auto centrée. Les pseudos solutions de répit, il n’y en a en réalité qu’UNE: l’EHPAD (de jour ou temporaire) mais si elle refuse, il n’y a RIEN. C’est affreux de penser cela mais on en est à espérer qu’elle retombe pour repasser aux urgences et à une prise en charge digne de ce nom.
Bon courage Mika, Bon courage à nous tous qui sommes dans cette spirale noire du quotidien
Bonjour,
Merci de votre commentaire.
Je comprends votre détresse, et c’est une situation très éprouvante. Vous faites tout votre possible, mais il est parfois nécessaire d’insister auprès des services médicaux et sociaux. N’hésitez pas à chercher du soutien pour vous aussi.
Bonne journée,
Amandine.
onjour c’est encore moi… Hier je lui ai dit que pour déjeuner il y avait des céréales elle ma dit OK mais na pas bouge du canapé-
Aujourd’hui ce matin je pensais qu’elle allait mangé, mais pas du tout… Elle oublie de manger mais si je lui rappelle elle me dit j’ai pas faim…. Il 7:30 PM chez moi et elle n’a pas mangé de la journée
Aujourd’hui moi et mon père… On lui a dit d’aller faire le ménage dans sa chambre qui est encombré( beaucoup) tout ce qu’elle a fait et je pense c’est encore de n’avoir presque rien jeté et a tout foutu dans ces tiroir… Elle a juste. Trois tiroir pour ces vêtements le reste c’est des babiole des crème a moitié vide et j’en passe… En plus elle prend toute la place de l’armoire de la salle de bain en rajoutant des choses qu’elle n’utilise même pas… Donc moi j’ai un petit tiroir ou y’a des choses a elle…
Le meilleur
Je suis rentré dans sa chambre pour dire tes tiroirs mamie…. Il faudrait aussi les vidé de ce que tu na plus besoin tu aurais plus de place pour ton linge et elle ma jeté ces magazine en colère… Évidemment y avait le sac poubelle a côté de moi….
Le plus préoccupant est que je stress a dormir car je sais que hier elle c’est encore couché à 2:00 du matin avant hier c’était a 2:40 quand je lui ai demandé a quelle heure tu t’est couché elle était perdu et ma dit a 1:00 je me suis couche il y avait un film sur la guerre alors que pas du tout… J’ai vérifié ce quelle écoutait avant quand je me réveille a 8:00
De plus elle ma fait une scène avec ces médicaments… À 3:30 pm
» les médicament toujours des esti de médicaments jsuis pu capable »
Je lui ai dit Mamie si tu les prend pas tu risque un Avc encore plus pire que ça et tu risque d’en mourir le médecin la dit
Elle ma dit » jmen fou »
Mais elle l’est a pris… Quand même car je lui ai dit gentiment prend les
Donc elle oublie encore de se lavez… Et surtout de mangez…. C’est pas normal d’oublier et lui rappelé…
Aussi elle ne s’est jamais sorti de l’idée de fumez je lui met des patch mais non faut quelle fume – je lui ai mis les plus forte mais elle continu de fumez et après elle se plaint d’avoir le souffle court…. Elle a des pompe pour ca bref pour l’histoire courte…
Demain je me sent oblige d’y faire a déjeuner…
Aujourdhui quand on est prêt a manger elle dit j’ai pas faim jsuis fatigué et elle regarde la télévision encore –
Je me sent …. Comment dire stressé… Puisque ma chambre est dans le sous sol j’entends tout même l’heure quelle va se couché… Je voudrai lui faire faire de l’exercice…. Mais elle veux pas juste la télévision- de plus on est l’hiver mais l’été Non plus elle ne veux pas honnêtement….Je sais plus….
J’ai peur de lui dire demain mamie faudrait que tu aille te lavez et quelle me fasse une scène.
3 jour quelle ne s’est pas lave demain ça fera quatre jour
Aussi elle a une étrange manie de ne rien jeté…. Bref…. Merci des conseil que vous pourriez me donnez.
PS: déjà des médicaments pour dormir, mais elle l’est combat…
En fait je pense quelle nous manipule des fois en pleurant pour un rien…. Je ne SAIS plus quoi faire…
Tout ce quelle veux c’est la télévision encore et encore…. Et si elle ne se lave pas ça fait quand même 3 jour elle risque de faire encore une infection urinaire….
Je ne vais pas être capable d’endurer ça si elle redevient méchante…
Tout ce qu’on demande c’est quelle mange a des heure normal…. Je peux pas et mon père non plus lui faire à souper a minuit !
Je me sent « forcé » de la faire mangé… Sinon elle mangera que du yogourt… Voyons c’est pas une vie..
Et je lui ai fait comprendre que moi mon shift d’occupation fini à 11 heure- minuit en blague et elle la rie en disant bein je comprend.
Elle est fine » gentille »
Mais là…. Si elle redevient méchante….
Je suis épuisés mentalement… Pour d’autre raison mais avec les chien qui essaie toujours De lui sauté dessus je suis a bout…. Vraiment mais je ne le laisse pas paraître évidemment pour ne pas qu’elle le remarque. Heureusement je dors bien mais quand je me lève je sais pas si elle va faire une crise ou être bien normal… A l’hôpital elle est resté 2 mois tout allait bien elle c’est jamais sorti de la tête de pouvoir fume mais là la…. Elle recommence avec TV TV TV
Elle dit quelle est autonome mais être autonome c’est pas oublié de se lavé et de mangez… C’est pas normal de ne pas mangez de la journée et de ne pas avoir faim du tout…. Je lui ai demandé tu na pas perdu l’envi de mangez j’espère? Elle ma dit non je sais quelle ma dit la vérité j’ai un sixième Sens pour cela. Honnêtement tout est correct les médecin on dit…
On lui répète si tu continu de fumez…. L’autre Avc que tu fera sera mortel mais elle sen criss( fou). Je pense… Comme les patch elle se plaint que sa pique… Et les enlève- …. Donc je lui fait bifurcation et en met un autre a une autre place pour pas qu’elle nous boucanne la salle de bain avec 20 cigarettes… Honnêtement pendant deux moi elle ne s’est jamais enlevé ça de la tête de fumez au moins elle en fume 5 par jour – ce n’est pas grave … Bien sûr mais j’ai vraiment besoin de conseil…
Oui elle est pas en prison mais se faire un café rendu a 7heure du soir pour être sur de ne pas dormir… Heureusement je lui fait oublié le café… On s’était mis d’accord pour 1 heure du matin le couché mais non elle respecte pas…. Bref… Honnêtement
Je la lève vers 12:30 car sinon elle est déboussolée vers 10:30 PM car je ne peux pas lui donnez plus tard indication médical même le médecin dit qu’on peu pas changé ces habitude je lui donne ces médicaments et celle pour dormir mais elle les combat … 25 mg petite pilule de couleur rose orangé pâle… Qui doit agir en 30 minutes-1 heure … Mais elle trouve toujours le moyen des combattre… De plus j’ai une mini ferme je fini mon ouvrage vers 11:30 après midi et des fois c’est vers 12:00 donc ça me laisse ’30 minute » a moi tout dépend des chien s’il dorment ou pas… J’ai tellement la tête pleine.. Et je fait un peu » ch*er » mon père en lui demandant si c’est normale…. Quelle agisse comme ça ou fait ça car je m’inquiète pour elle c’est normal.
Honnêtement quand elle est méchante elle pousse mes chiens sans raison si il veuille allez la voir . ça n’est pas arrivée depuis 4 mois … Bref avec sa petite scène dans la chambre..
Je rappel je suis son petit fil je ne peux pas lui dire fait si fait ça j’ai peur quelle va m’envoyer chier. Moi qui est quelqu’un de pacifique mdr je me suis jamais embrouillé avec elle sauf une fois quand elle avait l’infection urinaire pour des valise qui n’était pas dans le sous-sol. Elle s’est excusé et c’est oublié.
Des conseil svp
Aussi elle a des exercice quelle dit qu’elle peu faire pour ces articulations mais le cartable de l’hôpital na jamais bougé j’en déduit qu’elle ne lest fait même pas.
Désolé de déballé tout ça comme ça « ^^
Merci pour les conseil <3
Ps: cela avait besoin de sortir…
Bonjour,
Merci de votre commentaire.
Je comprends votre fatigue. Essayez de garder une routine pour les repas, le sommeil et l’hygiène, en douceur. Parlez-en au médecin si son comportement empire. Prenez aussi soin de vous.
Bonne journée,
Amandine.